Germany has spent some €200 billion ($228.09 billion) since 2000 transforming its energy industry into a green dream, and now Berlin wants to spend more. Witness its latest attempt to discourage investment in wind power, which happens to be the only renewable energy generation that makes even vague sense for Germany.
A review now under way of the 2014 renewable-energy law could change the way Berlin chooses new generating capacity. The current system of subsidies and feed-in tariffs (requirements that utilities buy renewable electricity at above-market prices) has led to a bonanza of solar- and wind-farm construction, and renewables now provide one-third of electricity generated in Germany.
The renewables never seem to fall in price the way boosters promise, and with costs skyrocketing Berlin needs a cheaper way to boost renewable capacity to its self-imposed goal of 45% of electricity generation by 2025.
The proposed solution is a bidding system in which renewable producers would compete for the right to produce a share of the planned new green capacity based on who can offer the lowest price. An auction process is supposed to make green energy more affordable. But Berlin wants to exclude new wind producers from this auction, at least as long as other producers such as solar are available. This despite—or perhaps because of—the fact that wind is the cheapest form of green power in Germany.
It makes you wonder if there’s any form of energy-price signal that governments won’t ignore. Germany’s 16-year-old Energiewende, or energy transformation, already has wrecked the country’s energy market in its quest to wean the economy off fossil fuels and nuclear power. Traditional power plants, including those that burn cleaner gas, have been closing left and right while soaring electricity prices push industries overseas and bankrupt households. Job losses run to the tens of thousands.
Now the effort to suppress additional wind-power development threatens to make matters worse. By favoring solar, Berlin would be picking the power source that most exacerbates the problems with the energy transformation. It’s the most expensive, requiring the greatest subsidies—at least €116 billion in today’s prices over the lifetime of the solar capacity built between 2000 and 2014. Germany has a climate and geography with about as much sunshine as Alaska, so solar is also the least reliable renewable.
The market distortions caused by overreliance on expensive but undependable power already have pushed German utilities to rely more on cheap and dirty coal-fired power plants to make up the shortfall when renewable sources can’t meet demand.
There are no heros here, least of all the wind industry currently bemoaning its bad political luck at potentially missing the subsidy- and feed-in tariff boat. Even if Berlin allows wind generators to bid for their share of new capacity, taxpayers and power consumers still will be on the hook for major new expenses. One problem with wind, which helps explain why it’s falling out of favor, is that someone would need to build expensive and unsightly new transmission lines from the windy north of Germany to the industrial south.
All of this—the job losses, the unreliable power supply, the astonishing amounts of spending that could top €1 trillion over the coming decades, and the rising coal emissions to boot—amounts to one of the more monumental blunders of modern governance.
Berlin likes to think of itself as a green-energy example to the rest of the world. It sure is.
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traduction rapide
Le Fiasco de l'énergie verte en Allemagne risque d'empirer
Depuis 2000, l'Allemagne a dépensé quelque 200 milliards € (228,09 milliards $) pour transformer son industrie de l'énergie en un rêve vert, et maintenant Berlin veut encore dépenser plus. Témoin sa dernière tentativepour décourager l'investissement dans l'énergie éolienne, qui se trouve être la seule production d'énergie renouvelable qui a un vague sens pour l'Allemagne.
Un examen de la loi 2014est en cours concernat les énergies renouvelables qui pourrait changer la façon dont Berlin choisit nouvelles capacités de production. Le système actuel des subventions et des tarifs de rachat (obligation que les services publics achètent l'électricité renouvelable à des prix supérieurs au marché) a conduit à une prolifération de constructions solaires et de ferme éoliennes , et les énergies renouvelables fournissent maintenant un tiers de l'électricité produite en Allemagne.
Les énergies renouvelables ne semblent jamais atteindre les prix que les fervents supporteurs promettent , et avec des coûts qui montent en flèche Berlin a besoin d'un moyen moins coûteux d'augmenter la capacité renouvelable pour atteindre son objectif auto-imposé de 45% de la production d'électricité d'ici 2025.
La solution proposée est un système d'appel d'offres dans lequel les producteurs renouvelables seraient en concurrence pouravoir droit de fabriquer une part de la nouvelle capacité verte planifiée en fonction de celui qui peut peut offrir le prix le plus bas.
Ce processus d'enchères est censé rendre l'énergie verte plus abordable. Mais Berlin veut exclure les nouveaux producteurs d'énergie éolienne de cette vente aux enchères, au moins aussi longtemps que les autres producteurs comme l'énergie solaire sont disponibles. Ceci malgré ou peut-être à cause du fait que le vent est la moins chère des énergies vertes en Allemagne.
On peut se demander s'il n'y a pas aussi un autre signal concernant le prix del'energie que les autres gouvernements ne pourront pas ignorer.
La transition Energétique allemande qui date de 16 ans , a déjà détruit le marché de l'énergie du pays dans sa quêteà e sevrer l'économie de combustibles fossiles et l'énergie nucléaire.
Les
centrales électriques traditionnelles, y compris celles qui qui brûlent du gaz propre, ont duun peu partout fermer et la flambée des prix de l'électricité pousser les industries se délocaliser à l'étranger et les ménages à faire faillite e. Les pertes d'emplois se comptent par dizaines de de milliers.
Maintenant, les effort pour empêcher le développement de capacités d'energie e éolienne supplémentaire menace de faire empirer les choses. En privilégiant l'énergie solaire, Berlin prendrait la source d'énergie qui amplifie la plupart des problèmes avec la transformation de l'énergie. C'est la e plus chère et celle qui nécessite les plus importantes subventions-( au moins 116 milliards d€ en prix d'aujourd'hui pour la période de de 2000 à 2014 concernat la capacité soliarequi a été construite). L'Allemagne a un climat et une géographie avec à peu près autant de soleil que l'Alaska, de sorte que l'énergie solaire est aussi la e moins fiable des renouvelables.
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Les distorsions du marché causées par une energie chère et non fiable ont déjà poussé les services publics allemands à compter davantage sur les centrales électriques au charbon bon marché et sale pour compenser le manque à gagner lorsque les sources renouvelables ne peuvent pas répondre à la demande.
Il n'y a pas ici de champions et surtout l'industrie éolienne actuellement déplore sa mauvaise chance politique qui va lui faire potentiellement manquer de subsides dans le futur navire des ressources tarifaires. Même si Berlin permet aux éoliennes d'encherir pour avoir leur part de nouvelles capacités, les contribuables et les consommateurs d'énergie devront éponger ces grandes nouvelles dépenses. Un problème avec le l'energie éoliennes est qu'il faut que quelqu'un construise des nouvelles lignes electriques coûteuses et inesthétiques allant du nord de l'Allemagne ou il y a du vent vers le sud industriel.
C'est ce qui explique pourquoi elle est tombée en disgrâce, 1.000 milliards de dollars sur les décennies à venir, et les émissions de charbon en hausse conduit à l'une des gaffes plus monumentales de la gouvernance moderne.
Berlin aime à se considérer comme l'exemple de l'énergie verte pour le reste du monde.
C'est reussi .